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Mercredi 25 avril 2007

Mercredi 25 avril 2007 à 21 heures
Aldebert

Le parrain sera présent toute la semaine du 24 au 29 avril.

Aldebert dont la popularité ne cesse de grandir – 200 000 spectateurs à son actif - participe pour la troisième fois au Printival. Il sera le parrain de cette 8ème édition.
Après trois albums Plateau Télé en octobre 2000, Sur place ou à emporter en mars 2003 et L’année du singe en octobre 2004, salués par la critique, Aldebert revient avec son nouvel opus Les paradis disponibles et un nouveau spectacle.

Nouvel objectif pour cet ancien étudiant en photographie : régler définitivement sa focale sur la chanson. Il est dans l’air du temps et il prend le temps de peaufiner des airs à la fois dansants et nostalgiques.
Cet album résonne comme un hymne à la vie, à l’amour, une sorte de carpe diem déjà cher à Aldebert. D’ailleurs, chaque chanson est comme une bouffée d’altruisme.
Ecoutez le chanter, « Le bonheur c’est d’arriver à désirer ce qu’on a déjà » ou encore, c’est un « chagrin qui se pose » « Des chatons dans un panier » et vous comprendrez à quel point il est naturel d’être heureux. L’écriture d’Aldebert a évolué et il vous le prouve.
Si on se mettait à jouer au jeu des ressemblances, on ne pourrait s’empêcher de sentir parfois l’influence d’un Brassens, clairement assumée par l’intéressé.
Cet auteur compositeur de 33 ans a su évoluer avec élégance tout en gardant l’essentiel de sa personnalité.
Ses chansons vivifiantes électrocutent le quotidien avec humour et un rien de détachement qui sied si bien à ce groupe de bisontins (from Besançon) à la fougue contagieuse et l'esprit farceur. Soutenu par toute l'équipe du Printival, Aldebert est un vivier de bonne humeur communicative, un trentenaire impressionniste adepte des tranches de vie et des croquis coquins. Il partage avec le public sa vision amusée et désabusée de la vie, qui est à l'image de ses chansons, sans complexe et chaleureuses. Sur scène, les thèmes d'accordéon, les guitares, les cuivres et les rythmiques festives réveillent toutes les énergies. Avec : G. Aldebert (chant, guitare) C. Darlot (accordéon, claviers) F. Grimm (guitares, choeurs) S. Metin (basse, choeurs) J. Woittequand (batterie)  

Un copain d'abord en somme !

Le mot du parrain : "S 'il y a  un festival qui m'a accompagné et soutenu depuis mes premiers concerts en 2000, c'est bien le Printival Bobby Lapointe et ses deux figures incontournables de la scène française que sont aujourd'hui Sam Olivier et Jacky Lapointe.
Moi qui suis fervent partisan d'une écriture ludique, puisque j'ai pu grandir au milieu des "pon, pon, pon, pon" de l'hélicon de maître Bobby, c'est avec la plus grande excitation que je me vois proposer cette année le parrainage du festival de tous les "Mot-siciens".

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Mercredi 25 avril 2007 à 21 heures
Jonathan Verleysen - en première partie

Jonathan Verleysen est un chanteur qui séduit autant qu’il agace. Sa voix suave et ses boucles blondes de 22 ans cachent cette sensibilité acide et à fleur de peau. Un brin de narcissisme dans le regard et l’autodérision au coin des lèvres font de Jonathan Verleysen un auteur particulier.
Sa musique, oscillant entre chanson française et pop-rock anglosaxone, faîte de piano et de guitares donne avec ses textes qui lui ressemblent comme deux gouttes d’eau, une œuvre exigeante, inspirée et extrêmement lucide.
Jonathan Verleysen commence son apprentissage musical dès 7 ans. Rapidement, il apprivoise violon, clarinette, et surtout saxophone. Il s’éprend littéralement de cet instrument qui le mène vers la découverte des grands standards de jazz. Cependant, cela reste un début, un léger assortiment d’amuses bouche : la fièvre de la guitare, puis, inévitable fléau, celle du piano, le saisissent tour à tour. Blues, rock, chanson française, tout y passe et ne fait que renforcer l’inassouvissable soif du jeune musicien.
2001, Jonathan intègre un groupe de musique et s’accapare un registre de rock où trônent les Beatles. De succès en succès, le jeune homme s’enhardit : en mars, il présente au public ses propres compositions. Programmé au TU, à Clisson, Vertou ainsi que dans le cadre de quelques cafés-concerts à Nantes et dans la région, il nous offre le plaisir incommensurable de goûter à son style incomparable et à la fois tellement juste qu’il en devient familier.

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Mercredi 25 avril 2007 à 19 heures
Thomas Pitiot, en première partie

Thomas Pitiot, 29 ans. Le bonhomme vit toujours en Seine-Saint-Denis, entre Dugny et Aubervilliers. Une scolarité jusqu’à la fac de Saint-Denis (licence de sciences politiques) ainsi que la découverte et l’apprentissage de différentes disciplines artistiques. En marge des institutions académiques et des conservatoires, plutôt les deux pieds dans l’associatif, il taquine le piano, la guitare, la batterie, le chant ; dès 14 ans, ses premières scènes rock, puis funk, reggae, rap, chanson. Thomas ne cloisonne rien, c’est un casseur de frontières.
En 2001, avec trois amis, ils créent T’Inquiète Productions et c’est le véritable lancement de sa carrière « chanson ».
En 2002, tout s’accélère. Premier album, Le Tramway du Bonheur, reçu très chaleureusement par le public et les professionnels.

Depuis, plus d’une centaine de concerts lui ont permis de faire sa place dans l’univers de la nouvelle scène chanson française. Le Café de la Danse, Le Sentier des Halles, l’Européen, le Festival de Bourges, les Francofolies de La Rochelle, la Fête de l’Humanité, le Festival de Marne, le Festival Mythos de Rennes, Le Festival Chant’Appart, etc. Parallèlement, il poursuit sur d’autres fronts : résidence, ateliers d’écriture, création originale avec des musiciens d’Afrique de l’ouest, etc.
Cette vie d’enrichissement humain et culturel est un moteur d’inspiration et de création pour lui. Trois années ont passé depuis son Tramway du Bonheur ; la nouvelle station s’appelle La Terre à Toto et de nombreux voyageurs commencent déjà à s’impatienter.
 
Au détour de ses mélodies, on retrouve des accents de son cercle de poètes disparus : Boby Lapointe, Félix Leclerc, Claude Nougaro, Georges Brassens, Jacques Brel et François Béranger… Thomas sait d’où il vient. Il est leur enfant, il n’y a pas à en douter. Mais il sait aussi où il va. Il ne les oublie pas. Ni ses pères, ni ses pairs. 

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Mercredi 25 avril 2007 à 16heures30
Les spectacles de l'Illustre théatre

Hervé Lapalud :


Jeune public
Deux spectacles musicaux tout public seront présentés le mercredi 25 avril et le samedi 28 avril à l’Illustre Théâtre pour faire découvrir la musique dès le plus jeune âge. Cette programmation associe le Théâtre La Vista à Montpellier et L’Illustre Théâtre à Pézenas.

Facteur de chansons depuis 1993, Hervé entre en scène comme un gosse dans la cour de récré réinventant chaque soir son récital, taquinant le public pour s’en faire un copain. Sourire contagieux, yeux pétillants et faux airs de tintin, Lapalud donne à voir des chansons qui croquent la vie, avec de vrais morceaux de tendresse dedans. Spectacle pour petits et grands.

 

 

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